Sammuel Nijhuis (2000) est un cinéaste et un artiste visuel basé à Zoersel.

Son travail artistique se situe à l’intersection du personnel et du surréel. En dépeignant des thèmes vulnérables d’une manière rêveuse et stratifiée, il met le spectateur au défi de réexplorer le monde de l’art, il incite le spectateur à réexplorer la frontière entre la réalité et le quotidien.
Depuis son enfance, Sammuel est fasciné par les histoires et les images.
Dès le lycée, il réalise des courts métrages et des animations ; avec Life il a remporté le prix du meilleur court métrage lors de sa dernière année d’études.
Cette expérience a nourri son ambition de faire passer sa passion à un niveau professionnel. En 2021, Sammuel réalise son premier court métrage, The Light Inside of You, dans lequel il collabore avec une équipe complète.
Après plusieurs années de travail en tant que directeur de la photographie et éclairagiste indépendant, il se concentre désormais sur la réalisation d’autres courts-métrages tels que Lost Line (2024)
Outre son travail cinématographique, Sammuel écrit ses propres scénarios et crée souvent ses propres accessoires, ce qui donne à ses productions une signature unique et personnelle. Il travaille actuellement sur son premier long métrage, One Without a Voice, un projet qu’il a entièrement écrit lui-même et dont la production commencera bientôt.

Il a réalisé plusieurs courts-métrages, dont Headhanced, primé lors du concours 48h 3IS. Au cours de sa formation, il a exploré divers formats, allant de la fiction au documentaire, en passant par des productions télévisées. En parallèle, il travaille comme vidéaste, réalisant notamment des captations événementielles. À travers ses projets, Julien cherche à faire ressentir aux spectateurs des émotions fortes, traduisant son attrait pour des récits marquants et intenses.

Je suis né et j’ai grandi à Kumasi – Tafo au Ghana, où j’ai vécu jusqu’en 2009/2010. J’ai ensuite déménagé en Belgique pour y retrouver ma mère, tandis que le reste de ma famille, y compris mon père, est resté vivre au Ghana. Cette expérience m’a profondément marqué et constitue une source d’inspiration importante pour mes films.
Mes histoires sont souvent liées à mon cadre de vie, à mes expériences personnelles et à des événements présents et passés. J’aime explorer des thèmes tels que l’identité, l’ambition et les relations humaines. Parfois, j’ajoute une touche psychologique, car j’aime jouer avec la façon dont les gens perçoivent la réalité.
En tant que cinéaste, j’essaie de combiner des origines multiculturelles avec un style visuel fort pour créer des histoires authentiques.

C’est pour moi un moyen d’exprimer ce que je ressens et de sensibiliser sur des sujets qui me touchent. À travers mes récits, je cherche à mettre en lumière des réalités souvent invisibles, en espérant que chaque histoire puisse provoquer une réflexion, un écho chez ceux qui la lisent ou la regardent.
Diplômée de l’école 3iS Bordeaux, où je me suis spécialisée en production et assistanat de réalisation, j’ai découvert une autre facette du cinéma qui me fascine : la production. Ces années d’études m’ont permis d’élargir ma vision du métier, mais aussi de renforcer mon envie de me consacrer à la fois à la production et à la réalisation, deux disciplines complémentaires qui me passionnent.
Mon stage de fin d’études chez Toast Production à Bruxelles m’a offert l’opportunité de découvrir la Belgique, un pays dont je suis tombée amoureuse et où je souhaite m’établir pour débuter ma carrière et mes projets.

Depuis deux ans, ils travaillent intensivement à leur passion commune pour la réalisation de films.
L’année dernière, ils ont participé à la finale des Young Talent Awards, et cette année ils visent la victoire. Avec leur regard neuf et leur détermination, ils veulent conquérir le monde du cinéma flamand. En tant que jeunes talents, ils rêvent de devenir de grands artistes qui auront un impact durable sur la scène cinématographique.

Pour son travail de fin d’études, il a réalisé un road movie captivant sur deux frères confrontés aux conséquences d’une crise maniaque. Actuellement, il se consacre à l’écriture d’un nouveau court-métrage.

En septembre 2020, j’ai reçu mon premier appareil photo et je me suis plongé dans le monde de la photographie. C’est à partir de là qu’est née ma passion pour la réalisation de vidéos. J’ai alors décidé de m’inscrire à l’Arteveldehogeschool en tant qu’étudiant en « audiovisual-design ». Trois ans plus tard, j’ai fondé Mexim Media. Aujourd’hui, mon objectif est de devenir cinéaste à temps plein et de vivre de ma passion dans le domaine de l’audiovisuel.

Parallèlement, j’ai toujours été impliqué dans le sport, une passion dès mon plus jeune âge. Après avoir intégré l’école de cinéma Helb, j’ai choisi de poursuivre ma  formation de manière autodidacte. Aujourd’hui, je suis vidéaste, chef opérateur/technicien, travaillant en freelance dans l’audiovisuel.
Thomas, 28 ans, a toujours eu une passion pour la vidéo, souvent en compagnie de ses amis, et une pratique assidue du sport. Cependant, il a décidé de convaincre ses parents qu’il voulait s’orienter vers le théâtre et le cinéma. Il a ainsi intégré les Cours Florent à Bruxelles. Actuellement, il travaille comme livreur, tout en continuant de nourrir son amour pour le cinéma.
Maintenant que vous avez un aperçu notre parcours, passons à notre rencontre…
Tout a commencé un soir inconnus partageant une voiture en route pour la même soirée, le seul lien que nous avions  était le conducteur commun. La soirée s’est déroulée dans une atmosphère agréable, et une fois la nuit tombée, l’entente semblait bien se solidifier. En discutant de nos passions respectives,  nous rapidement découvert de nombreux points communs. Sur le chemin du retour, nous avons échangé l’idée de collaborer ensemble : « Ce serait bien de faire des courts-métrages ensemble ! »
Et c’est ainsi qu’a commencé une aventure créative. Depuis cette rencontre, cela fait presque trois ans que nous travaillons ensemble sur divers projets.
Au final, les détails sur notre parcours personnel ont pris plus de place que l’histoire même de notre rencontre. Pourtant, cette rencontre a été le point de départ d’une belle collaboration, qui perdure encore aujourd’hui.

Depuis que je suis toute petite, j’aime raconter des histoires, faire du théâtre et réaliser des vidéos sur YouTube à « petit budget ». Je me décrirais comme curieuse, émerveillée et parfois un peu naïve. J’ai d’abord étudié les sciences de la communication à l’Université de Gand, puis le journalisme radio et télévision à la VUB. Ensuite, j’ai travaillé pendant un an comme rédactrice à Iedereen Beroemd sur VRT1. Entre-temps, je suis également barista au bar Bidon et je combine ce travail avec celui de digital storyteller chez LEJO, une association à but non lucratif qui soutient les jeunes. Avec eux, j’y explore les moyens de faire ressortir leurs histoires vulnérables tout en leur donnant une voix dans notre société.

Je suis en troisième année de cinéma à la LUCA School of Arts. J’ai toujours été impliqué dans les arts visuels tels que le dessin, la peinture et la sculpture. À l’âge de 14 ans, j’ai commencé à m’intéresser à la photographie et j’ai donc étudié l’éducation audiovisuelle à la Kunsthumaniora de Bruges.
Cette formation comprenait également le cinéma et, au cours de mes années au KSO, j’ai délaissé la photographie au profit du cinéma. Ce n’est qu’à l’âge de 17 ans, il y a un peu plus de trois ans, que j’ai commencé à prendre le cinéma au sérieux dans le cadre de ma discipline. Mais cet intérêt tardif est aussi mon intérêt le plus fort. Depuis lors, le cinéma a envahi ma vie en même temps que mon autre grande passion : la musique. J’utilise souvent les deux médias de manière interchangeable, et l’un m’inspire en fonction de l’autre.